La Galère Songtext
Des visages mineurs sous cagoule, la France que les petits poussent à bout
Des péripéties qui s'répètent tour à tour, tu peux voir des bébés postés sur un toit
La rue qui nous fait des papouilles, à deux pour surchauffer un pot
On passe les dos d'ânes sans réfléchir un peu, on prend des morales sur l'argent des impôts
Petit, tu réussiras pas, ça sortait d'la bouche des adultes, maintenant, j'gagne le prix d'leurs appart'
Fallait s'demander combien pesait ma plume, des billets d'couleur sont rentrés, ouais c'est normal
Parti de rien, on a tout démonté, j'me sens si bas du sommet des montagnes
J'compte arriver sur l'mental, va donc faire passer l'mot
Poison calé dans l'çon-cal, elle partira pas cette mode
J'connais des mecs pour trente tal, ils pouvaient rejoindre les pôles
Restons discret sur l'plan d'armes, fais pas rodave les corps
Je suis mort j'checke toute la ville, ça, c'est nos vies
C'est l'son d'la galère, les shtars perquisent nos frics
J'finis coffré, peut-être à t'à l'heure
Tu peux m'croiser quelques fois saoul le soir, à Bondy, pas très loin du pont
Très peu d'entre nous prennent du pouvoir, c'est Fleury la plupart du temps
Crois pas qu'tu vas dicter nos vies toi et dis toi qu't'es très loin du compte
J'applique danrité l'obscur, j'vois, très peu la lumière du jour
J'ai toujours sur qui compter, les frères au placard qui m'écoutent
Garder la force et la frappe de Popeye, surtout la fois car la chance va ner-tour
Qu'est c'que vous traficotez ? On vise la sape d'avenu Montaigne
Pour ça qu'j'ai l'appel sur mon tel', on s'est p't-être trompé sur la prise des modèles
J'adore quand vous m'parlez sommes, j'viens d'la banlieue parisienne
Tieks gouvernés par les hommes qui lâchent pas pour des fesses
Gros rapport dans les caisses qui crient fort : "On les baise"
Blindé d'vengeance on les désarmes net, la putain d'balafre, elle a des années
Le prince de la ville qu'a [?] Hamlet, j'sors un copain qui les fait trembler
On y voit plus clair, il était temps ouais, augmenter les tarots les p'tites taulé
Depuis dix piges, moi, j'ai plus calé, j'ricoche partout sur Paris comme un galet
J'préfère l'oseille à la galère, quitte à crever sur Internet
Tu t'prétends loin t'en as pas l'air, j'pratique ce sport sur un balai
Je suis mort j'checke toute la ville, ça, c'est nos vies
C'est l'son d'la galère, les shtars perquisent nos frics
J'finis coffré, peut-être à t'à l'heure
Tu peux m'croiser quelques fois saoul le soir, à Bondy, pas très loin du pont
Très peu d'entre nous prennent du pouvoir, c'est Fleury la plupart du temps
Crois pas qu'tu vas dicter nos vies toi et dis toi qu't'es très loin du compte
J'applique danrité l'obscur, j'vois, très peu la lumière du jour
Des péripéties qui s'répètent tour à tour, tu peux voir des bébés postés sur un toit
La rue qui nous fait des papouilles, à deux pour surchauffer un pot
On passe les dos d'ânes sans réfléchir un peu, on prend des morales sur l'argent des impôts
Petit, tu réussiras pas, ça sortait d'la bouche des adultes, maintenant, j'gagne le prix d'leurs appart'
Fallait s'demander combien pesait ma plume, des billets d'couleur sont rentrés, ouais c'est normal
Parti de rien, on a tout démonté, j'me sens si bas du sommet des montagnes
J'compte arriver sur l'mental, va donc faire passer l'mot
Poison calé dans l'çon-cal, elle partira pas cette mode
J'connais des mecs pour trente tal, ils pouvaient rejoindre les pôles
Restons discret sur l'plan d'armes, fais pas rodave les corps
Je suis mort j'checke toute la ville, ça, c'est nos vies
C'est l'son d'la galère, les shtars perquisent nos frics
J'finis coffré, peut-être à t'à l'heure
Tu peux m'croiser quelques fois saoul le soir, à Bondy, pas très loin du pont
Très peu d'entre nous prennent du pouvoir, c'est Fleury la plupart du temps
Crois pas qu'tu vas dicter nos vies toi et dis toi qu't'es très loin du compte
J'applique danrité l'obscur, j'vois, très peu la lumière du jour
J'ai toujours sur qui compter, les frères au placard qui m'écoutent
Garder la force et la frappe de Popeye, surtout la fois car la chance va ner-tour
Qu'est c'que vous traficotez ? On vise la sape d'avenu Montaigne
Pour ça qu'j'ai l'appel sur mon tel', on s'est p't-être trompé sur la prise des modèles
J'adore quand vous m'parlez sommes, j'viens d'la banlieue parisienne
Tieks gouvernés par les hommes qui lâchent pas pour des fesses
Gros rapport dans les caisses qui crient fort : "On les baise"
Blindé d'vengeance on les désarmes net, la putain d'balafre, elle a des années
Le prince de la ville qu'a [?] Hamlet, j'sors un copain qui les fait trembler
On y voit plus clair, il était temps ouais, augmenter les tarots les p'tites taulé
Depuis dix piges, moi, j'ai plus calé, j'ricoche partout sur Paris comme un galet
J'préfère l'oseille à la galère, quitte à crever sur Internet
Tu t'prétends loin t'en as pas l'air, j'pratique ce sport sur un balai
Je suis mort j'checke toute la ville, ça, c'est nos vies
C'est l'son d'la galère, les shtars perquisent nos frics
J'finis coffré, peut-être à t'à l'heure
Tu peux m'croiser quelques fois saoul le soir, à Bondy, pas très loin du pont
Très peu d'entre nous prennent du pouvoir, c'est Fleury la plupart du temps
Crois pas qu'tu vas dicter nos vies toi et dis toi qu't'es très loin du compte
J'applique danrité l'obscur, j'vois, très peu la lumière du jour