La Moitié De Moi Songtext

Comment pourrais-je un jour
Me détacher de la moitié de moi.
J'aurais toujours besoin
De la totalité de toi.
Seule l'amour a de toutes les amitiés le vois.
Mais quand le doute est la
Tout le monde a pitié de sois.
Quelle étrange alchimie du cerveau et du cœur.
On n'peut pas être plus confiant,
Mais on n'peut pas avoir plus peur.
On passe d'une friche en hiver,
A un superbe jardin en fleur.
On joui à gorge déployée,
Et puis l'instant d'après on pleur.
Et pour qu'il dure il convient de faire en sorte,
De savoir jusqu'où ce sentiment nous transporte,
Pour revenir en arrière si nécessaire Quand on s'emporte,
Pour que nos excuses
Ne reste jamais lettres mortes.

Souvent inespéré,
Parfois désespéré,
L'amour fait qu'on se sent aussi libre Qu'incarcéré.
Ce à quoi j'ajouterais,
Et c'est à peine exagéré,
Qu'on n'sais plus comment respiré
Quand l'autre est exaspéré

J'ai l'impression d'être super bête,
Et d'en avoir pris pour perpette.
Mare de tes crèmes, de tes serviettes,
Il nous faudrait un interprète
Mais on a jamais fait semblant,
Tu m'as fait les plus beaux enfants
Je n'te laisserais jamais en plan
Je t'aime
J'espère que tu m'entend

Heu...
Comment dire,
Je t'aimais, je t'aime, et je t'aimerais
Et si tu n'entends pas ça,
je monterais sur le tabouret
Je crierais, et s'il faut j'hurlerais Même si je trouve ça bête.
J'te parles d'une vie entière,
Non pas d'une amourette
Quand on ne peut pas prévoir qu'il est Possible que tout s’arrête
On n'veux pas savoir
On aimerais n'avoir que de ça tête
J'préfère tes petits mensonges,
A tes longs silences en fête
J'aime pas ce que l'atmosphère sécrète
Quand tu devient secrète
Ton corps se change en courant d'air,
Alors qu'il dors sous les mêmes draps
Et parfois, j'me reconnais même pas
On a pourtant le même but
Mais on ne marche pas du même pat
Tout ça, tout ça,
C'est ce que je pense
Et je le dis même pas
Alors je sort,
Je m'abandonne,
Je t'abandonnes
Et je ne rentre pas
La vie nous teste
Mais on ne se quitte pas
Le couple c'est comme une entreprise
Et même en temps de crise
Quand tout ce brise
Y'a ceux qui s'accroche
Et ceux qui lâche prise
Je déteste mentir,
Du coup je n'aime pas faire de promesses
Aussi incertaines qu'une éventuelle grossesse
On subi
Puis on affronte même si tout ça blesse
Il s'agit pas d'une vulgaire flurt,
Ni d'une histoire de fesses.
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