La Romance Du 14 Juillet Songtext
Elle n'avait que 16 ans à peine
Quand elle sentit battre son coeur
Un soir avec le môme gégène
La pauvrette a connu le bonheur
C'était l'jour d'la fête nationale
Les fusées pétaient en l'air
Elle sentit comme un trou d'balle
Un frisson parcourir sa chair
Par devant, par derrière
Tristement comme toujours
Sans chichis, sans manières
Elle a connu l'amour
Les oiseaux dans les branches
En les voyant s'aimer
Entamèrent la romance du 14 juillet
Mais quand reflerit l'aubépine
Au premier souffle du printemps
Fallait voir la pauvre gamine
Mettre au monde un petit enfant
Et Gégène qui est l'mec à l'adresse
Lui dit ton lardon moi j'men fou
J'lai fait maint'nant j'te le laisse
A ta place, je lui tordrais le cou
Par devant, par derrière
Tristement comme toujours
Fallait voir la pauvre mère
Et son gosse de 8 jours
En fermant les paupières
Mais elle y'a tordu l'kiki
Et dans l'trou des waters
Elle a jetté son petit
Mais au banc de la cour d'assise
Comme a suit de la société
Elle fut traitée de fille soumise
Elle qui l'avait jamais été
Elle repensait à son pauvre gosse
Quelle avait perdu maint'nant
Et l'verdict fut attroce
Il la condamna pour 20 ans
Par devant, par derrière
Tristement comme toujours
Elle est morte la pauv' mère
A Cayenne un beau jour
Morte avec l'espérence
De revoir son petit
Dans la fosse d'aisance
La ou s'quelle l'avait mis (bis)
Quand elle sentit battre son coeur
Un soir avec le môme gégène
La pauvrette a connu le bonheur
C'était l'jour d'la fête nationale
Les fusées pétaient en l'air
Elle sentit comme un trou d'balle
Un frisson parcourir sa chair
Par devant, par derrière
Tristement comme toujours
Sans chichis, sans manières
Elle a connu l'amour
Les oiseaux dans les branches
En les voyant s'aimer
Entamèrent la romance du 14 juillet
Mais quand reflerit l'aubépine
Au premier souffle du printemps
Fallait voir la pauvre gamine
Mettre au monde un petit enfant
Et Gégène qui est l'mec à l'adresse
Lui dit ton lardon moi j'men fou
J'lai fait maint'nant j'te le laisse
A ta place, je lui tordrais le cou
Par devant, par derrière
Tristement comme toujours
Fallait voir la pauvre mère
Et son gosse de 8 jours
En fermant les paupières
Mais elle y'a tordu l'kiki
Et dans l'trou des waters
Elle a jetté son petit
Mais au banc de la cour d'assise
Comme a suit de la société
Elle fut traitée de fille soumise
Elle qui l'avait jamais été
Elle repensait à son pauvre gosse
Quelle avait perdu maint'nant
Et l'verdict fut attroce
Il la condamna pour 20 ans
Par devant, par derrière
Tristement comme toujours
Elle est morte la pauv' mère
A Cayenne un beau jour
Morte avec l'espérence
De revoir son petit
Dans la fosse d'aisance
La ou s'quelle l'avait mis (bis)