Die Reise Songtext

Que faire pour court-circuiter la conspiration ?Qui fait que comme d'habitude je vis au fil des saisons .File attendue, en vue, que mes rêves soient illusionJe les voleraient bien pour de bon vos montagnes de millions.Mais bon, y a bien ma bagnole et mon chienLe biberon du bébé le baby-sitter qui vient demainLa bouffe le loyer la banque à rembourserBabylone ma bien-aimée c'est pour toi que je vais bosser.Mais bon y a bien cette chose que j'ai en moiTu ne peux pas la toucher y a que moi qui la voisVision virtuelle venant des vents les plus lointainJe suis vivant et en rêvant j'vois la vie comme elle vient.Le rêve commence.Le rêve commence, je vois la vie comme elle vientPas de volant les virages je négocie bienBien voilà que maintenant, un voilier me prendEt c'est toutes voiles dans le vent que je voyage à présent.Je n'ai pas vu de violenceTu as eu de la chanceJe n'ai pas vu de violenceSûrement pas en FranceJe n'ai pas vu de violenceTu as eu de la chanceJe n'ai pas vu de violence.Je n'ai pas de violence, de voiture de villeet c'est en transe que je poursuis mon exilJe vis, je vois, j'oublie les imbécilesEt c'est maintenant qu'au loin j'aperçoit une île.Très vite je m'approche, sur l'eau je ricoche,Et pof !, j'atterris devant le sourire d'un miocheDans sa main un morceau de briocheA côté de lui un chien qui renifle ses poches.Ici tout est bien, quand même mieux qu'au cinocheL'air qu'on respire est sain personne ne roule en PorscheOn est chez quelqu'un que je sais apprécierIl dans mes rêves depuis des dizaines d'années.On est chez mon frère, celui qui jamais ne nous envie,Celui qui aime la terre, l'eau, qui a les enfants pour amis.Lui, il sait se taire. On écoute ce qu'il ditCar jamais jamais jamais de sa bouche n'apparaît le méprisL'humour est son petit frère, l'amour son aînéSon nom représente la Terre, il s'appelle YakamonéyéChez Yakamonéyé non non y a pas de monnaieY a pas de barbelés non non pour t'empêcherD'entrer, y a pas mal de mouflets, chez YakamonéyéUn peu de sensé, beaucoup de libertésQuand est-ce qu'on va manger, quand est-ce qu'on va planter,Y a pas de quoi s'inquiéter non non chez Yakamonéyé,Y a pas de monnaie chez Yakamonéyé,Y a pas mal de mouflets, et c'est bien les moufletsJe rêve oh oui mon frère ça vaut tous mes mois de salaireC'est le repère ou je mène une vie pépèreJe me libère du monde amer, et même si j'y reste fier,J'aurais du mal a refaire tout ce qui va de travers,Alors je traverse les coéans, pour trouver ce monde d'enfantsEt je m'enfuis comme un dément vers ces gens plus cléments,J'y reste quelque temps tant que je peux y resterEt quand le réveil sonne j'aie l'énergie pour lutterCar?J'ai été chez mon frère, celui qui jamais ne nous envie,Celui qui aime la terre, l'eau, qui a les enfants pour amis.Lui, il sait se taire. On écoute ce qu'il ditCar jamais jamais jamais de sa bouche n'apparaît le méprisL'humour est son petit frère, l'amour son aînéSon nom représente la Terre, il s'appelle YakamonéyéChez Yakamonéyé non non y a pas de monnaieY a pas de barbelés non non pour t'empêcherD'entrer, y a pas mal de mouflets, chez YakamonéyéUn peu de sensé, beaucoup de libertésQuand est-ce qu'on va manger, quand est-ce qu'on va planter,Y a pas de quoi s'inquiéter non non chez Yakamonéyé,Y a pas de monnaie chez Yakamonéyé,Y a pas mal de mouflets, et c'est bien les mouflets