Boug Détere Songtext
Lorsque l'on kill on n’emporte pas les euros
Et le temps file, veut nous tailler en pièces
On voit s’enfuir tous nos rêves de héros
Ensuite s’inscrire les galères de tiéks
J’ai le regard d’un boug déter, et le barreau comme un taureau
Au-delà d’être un boug pépère, la délinquance fera ma promo
Yeah, CNL et Bergeries, 91 mon fichu hood
Tito Prince mon bad boug, c’est quoi les bye gros ?
[Couplet 1 : Tito Prince]
Yo, Je me booste bouge si tu veux mon réseau karnalito
Faudra affronter c’boug qui a connu le goudron les hôpitaux
J’ai fait vivre Prince donc personne m’empêchera d’être Tito
D’ici tôt j’suis loin, mais loin du H to Izzo donc vise haut
Paname voulait ma mort par balle ou par la sensi
C’est mort j’aurais vu l’arnaque même ivre comme Boris Eltsine
Ce qui canne pas rend plus fort, le tiéks te l’prouve
Dans ce game aucun blème peut m’couche même pas le sexe d’une pouffe
J’essaie de faire de la boucherie, j’bosse en approchant le jour J
Ou nos mères traineront près de Gucci et loin de Fabio Lucci
J’dis à Cokein si si, Obama l’a fait
Qui cru que les cuisines de la Maison Blanche un jour sentiraient le mafé
J’rappe ma vie, m’rappelle le chacal que j’étais
Le toubib vu mon appétit depuis que j’ai l’âge d’allaiter
Aujourd’hui 23 balais j’ai passé dans l’seum
Dans des briques ou on vit que selon la frappe du seum
Si j’ai trop d’rage sur mes lyrics, trop la rime idyllique
C’est que le passé d’ma vie m’irrite et que la voyoucratie milite
Pour la life easy, qui m’file un mic ?
Qui m’file un plat que j’cuisine et graille avant que l’sheitan me visite ?
Qui peut stopper la force d’un petit qui morfle ?
Ou me stopper quand j’bosse pour voir c’que la musique m’offre ?
Qui a dit que c’était Nouvelle Donne à la prod ?
Dites leur que c’est juste moi, Freddy et le ciel en auto-prod
[Couplet 2 : Ol’ Kainry]
Les bougs sont pétrifiés de peur tellement ma rime est froide
La jalousie je l’ignore, je laisse parler mon swagg
J’reste à fond dans mes guiz-guiz parmi des tas de putes négros
J’suis parano je n’ai confiance qu’en trois gars
J’laisse Ry-Fleu et Bois d’Ar, j’me laisse le choix d’armer l’mic
Les putes et les faux se mettent un oid
J'en suis au stade où dans mon hood c’est le Pride
Ma haine est dévastatrice, ma gentillesse est bad
Bolosse baisse les yeux quand nos regards se croisent
Tu prends ma dope, tu voles le diez, te chies dessus comme un oiseau
Le fer nous croisons, j’résiste au poison
Tous ces fils de pute du game vont me refiler ce qu’ils me doivent
Les drive-by en 205, le deal, c’était moi avant
J’ai rangé le Glock au placard mais j’suis terrifiant du bras avant
J’devise la vérité propriétaire de pav
Et Manaudou me pips avec des filets de bave
Je contredis le scénario ou l’noir meurt comme dans les films
La rotte-ca j’te la glisse juste entre les deux comme dans l’string
Depuis au-delà des apparences, Dyf n’a vraiment pas soufflé
Constante évolution appelle moi Ichigo ou Sasuke
Matte mes soldats s’attrouper, tous ces haineux s’accoupler
Les bastos ne m’ont pas touché, j’défouraille en trois couplets
Dyf est pépère, déter, j’fais les bye
Les soi-disant ro-ro, ramenez-les moi j’vais les graille !
Et le temps file, veut nous tailler en pièces
On voit s’enfuir tous nos rêves de héros
Ensuite s’inscrire les galères de tiéks
J’ai le regard d’un boug déter, et le barreau comme un taureau
Au-delà d’être un boug pépère, la délinquance fera ma promo
Yeah, CNL et Bergeries, 91 mon fichu hood
Tito Prince mon bad boug, c’est quoi les bye gros ?
[Couplet 1 : Tito Prince]
Yo, Je me booste bouge si tu veux mon réseau karnalito
Faudra affronter c’boug qui a connu le goudron les hôpitaux
J’ai fait vivre Prince donc personne m’empêchera d’être Tito
D’ici tôt j’suis loin, mais loin du H to Izzo donc vise haut
Paname voulait ma mort par balle ou par la sensi
C’est mort j’aurais vu l’arnaque même ivre comme Boris Eltsine
Ce qui canne pas rend plus fort, le tiéks te l’prouve
Dans ce game aucun blème peut m’couche même pas le sexe d’une pouffe
J’essaie de faire de la boucherie, j’bosse en approchant le jour J
Ou nos mères traineront près de Gucci et loin de Fabio Lucci
J’dis à Cokein si si, Obama l’a fait
Qui cru que les cuisines de la Maison Blanche un jour sentiraient le mafé
J’rappe ma vie, m’rappelle le chacal que j’étais
Le toubib vu mon appétit depuis que j’ai l’âge d’allaiter
Aujourd’hui 23 balais j’ai passé dans l’seum
Dans des briques ou on vit que selon la frappe du seum
Si j’ai trop d’rage sur mes lyrics, trop la rime idyllique
C’est que le passé d’ma vie m’irrite et que la voyoucratie milite
Pour la life easy, qui m’file un mic ?
Qui m’file un plat que j’cuisine et graille avant que l’sheitan me visite ?
Qui peut stopper la force d’un petit qui morfle ?
Ou me stopper quand j’bosse pour voir c’que la musique m’offre ?
Qui a dit que c’était Nouvelle Donne à la prod ?
Dites leur que c’est juste moi, Freddy et le ciel en auto-prod
[Couplet 2 : Ol’ Kainry]
Les bougs sont pétrifiés de peur tellement ma rime est froide
La jalousie je l’ignore, je laisse parler mon swagg
J’reste à fond dans mes guiz-guiz parmi des tas de putes négros
J’suis parano je n’ai confiance qu’en trois gars
J’laisse Ry-Fleu et Bois d’Ar, j’me laisse le choix d’armer l’mic
Les putes et les faux se mettent un oid
J'en suis au stade où dans mon hood c’est le Pride
Ma haine est dévastatrice, ma gentillesse est bad
Bolosse baisse les yeux quand nos regards se croisent
Tu prends ma dope, tu voles le diez, te chies dessus comme un oiseau
Le fer nous croisons, j’résiste au poison
Tous ces fils de pute du game vont me refiler ce qu’ils me doivent
Les drive-by en 205, le deal, c’était moi avant
J’ai rangé le Glock au placard mais j’suis terrifiant du bras avant
J’devise la vérité propriétaire de pav
Et Manaudou me pips avec des filets de bave
Je contredis le scénario ou l’noir meurt comme dans les films
La rotte-ca j’te la glisse juste entre les deux comme dans l’string
Depuis au-delà des apparences, Dyf n’a vraiment pas soufflé
Constante évolution appelle moi Ichigo ou Sasuke
Matte mes soldats s’attrouper, tous ces haineux s’accoupler
Les bastos ne m’ont pas touché, j’défouraille en trois couplets
Dyf est pépère, déter, j’fais les bye
Les soi-disant ro-ro, ramenez-les moi j’vais les graille !