Paris-cayenne Songtext
On y promène de temps en temps
Et tout ça couche avec des truands
Des capitaines aux yeux si bleus
Qu'on voit la France pleurer dedans
Des Jeannettes au ventre si blanc
Qu'on voit la France bouger dedans
Et des rouges au cur si grand
Qu'on la France s'aimer dedans
{Refrain:}
Paris-Cayenne tu as la dent dure à ceux là qui sont dedans
Paris la Seine y a trop longtemps que tu coules entre deux agents
Paris-Cayenne avec des gants ça fait plus chic c'est moins voyant
Depuis qu'en France Bourg-La-Reine prend des allures d'océan
On dit qu'à Fresnes le chiendent voisine avec la fleur des champs
On y promène de temps en temps
Dans quatre mètres de murs blancs
Des quarantaines de printemps
Qui sont en perle des firmaments
Oh Madeleine sorte d'enfant
Chaque semaine ça fait cent ans
La belle la belle que l'on t'attends
Un bar de Fresnes entre les dents
{au Refrain}
On y malmène de temps en temps
Dans des arènes de ciment
Des fortes têtes aux cheveux blancs
Qui ont eu le rêve trop entreprenant
Des athées qui savent à vingt ans
Qui sèment la foudre récolte le sang
Qu'on ramène à Fresnes sans ménagement
Voir si d'un Jésus on fait un forban.
{au Refrain}
Et tout ça couche avec des truands
Des capitaines aux yeux si bleus
Qu'on voit la France pleurer dedans
Des Jeannettes au ventre si blanc
Qu'on voit la France bouger dedans
Et des rouges au cur si grand
Qu'on la France s'aimer dedans
{Refrain:}
Paris-Cayenne tu as la dent dure à ceux là qui sont dedans
Paris la Seine y a trop longtemps que tu coules entre deux agents
Paris-Cayenne avec des gants ça fait plus chic c'est moins voyant
Depuis qu'en France Bourg-La-Reine prend des allures d'océan
On dit qu'à Fresnes le chiendent voisine avec la fleur des champs
On y promène de temps en temps
Dans quatre mètres de murs blancs
Des quarantaines de printemps
Qui sont en perle des firmaments
Oh Madeleine sorte d'enfant
Chaque semaine ça fait cent ans
La belle la belle que l'on t'attends
Un bar de Fresnes entre les dents
{au Refrain}
On y malmène de temps en temps
Dans des arènes de ciment
Des fortes têtes aux cheveux blancs
Qui ont eu le rêve trop entreprenant
Des athées qui savent à vingt ans
Qui sèment la foudre récolte le sang
Qu'on ramène à Fresnes sans ménagement
Voir si d'un Jésus on fait un forban.
{au Refrain}