Paolo Songtext
Dans un p'tit village au bord de la plage
Quelque part en Méditerranée,
J'ai fait le ménage et tourné la page
Sous le doux soleil du mois de mai
J'ai vu le visage d'une enfant sauvage
Et c'est ce jour-là que tout est né
J'ai pris mon courage à deux mains
Et sage mais un peu incertain
Je suis parti tout lui avouer
Dehors, idiot comme un gamin
J'ai dit en lui prenant la main :
Tu es le plus beau poème
Que j'ai jamais pu raconter
Je t'aime, je t'aime à en crever
Tu m'as dit d'attendre,
Qu'il fallait comprendre
Que t'étais pas sûre, et caetera
J'ai dit : " oui, bien sûr, évidemment ",
Que c'était plus sage, plus prudent
Qu'il valait mieux que tu
Prennes tout ton temps
Guettant ton message
Comme un lion en cage
Je tournais en rond dans mon chagrin
Quand sur le vieux port tu m'as trouvé
Et que sur mes lèvres tu as posé
Le plus sublimissime des baisers
Alors, assis comme des gamins
J'ai dit en te prenant la main :
Tu es le plus beau poème
Que j'ai jamais pu raconter
Je t'aime, je t'aime à en crever
Après les voyages, les hôtels, les plages
Après la belle vie sous les palmiers
Après les orages, plus quelques naufrages
Comme des amoureux nous sommes rentrés
Dans notre p'tit village, posant nos bagages
Je t'ai emmenée sur la jetée,
J'ai pris ton visage dans mes mains,
Et sage mais un peu incertain
Je t'ai dit : " veux-tu m'épouser ? "
Alors, pleurant comme des gamins,
J'ai dit en te serrant les mains :
Tu es le plus beau poème
Que j'ai jamais pu raconter
Je t'aime, je t'aime à en crever
Quelque part en Méditerranée,
J'ai fait le ménage et tourné la page
Sous le doux soleil du mois de mai
J'ai vu le visage d'une enfant sauvage
Et c'est ce jour-là que tout est né
J'ai pris mon courage à deux mains
Et sage mais un peu incertain
Je suis parti tout lui avouer
Dehors, idiot comme un gamin
J'ai dit en lui prenant la main :
Tu es le plus beau poème
Que j'ai jamais pu raconter
Je t'aime, je t'aime à en crever
Tu m'as dit d'attendre,
Qu'il fallait comprendre
Que t'étais pas sûre, et caetera
J'ai dit : " oui, bien sûr, évidemment ",
Que c'était plus sage, plus prudent
Qu'il valait mieux que tu
Prennes tout ton temps
Guettant ton message
Comme un lion en cage
Je tournais en rond dans mon chagrin
Quand sur le vieux port tu m'as trouvé
Et que sur mes lèvres tu as posé
Le plus sublimissime des baisers
Alors, assis comme des gamins
J'ai dit en te prenant la main :
Tu es le plus beau poème
Que j'ai jamais pu raconter
Je t'aime, je t'aime à en crever
Après les voyages, les hôtels, les plages
Après la belle vie sous les palmiers
Après les orages, plus quelques naufrages
Comme des amoureux nous sommes rentrés
Dans notre p'tit village, posant nos bagages
Je t'ai emmenée sur la jetée,
J'ai pris ton visage dans mes mains,
Et sage mais un peu incertain
Je t'ai dit : " veux-tu m'épouser ? "
Alors, pleurant comme des gamins,
J'ai dit en te serrant les mains :
Tu es le plus beau poème
Que j'ai jamais pu raconter
Je t'aime, je t'aime à en crever