La Lá©gende Des 2 Lames Songtext
Faf La Rage :
Un poignard dans le silence á un cheveux de mon bras
Les sens en alerte couché sur le sol práªt au combat
J'ai volé qu'un pain, rien qui justifie un tel sort
Pour un gosse affamé dans les quartiers pauvres
áa fait trop longtemps que á§a dure, des embuscades bizarres
Des embrouilles inattendues ponctuées de magie noire
Je sais qu'il y a un truc qui cloche, un danger qui rá´de
Mais c'est la vie dans les ruelles de Mars
"... Ah á§a tu l'as dit hein, hé du vin maraud.. et la suite vieillard ?"
La suite ? C'est courir jusqu'á en perdre haleine
Grimper sur les toits de la Taverne en évitant les carreaux d'arbalá¨tes
Un sort d'illusion m'a sauvé, j'en ai tué un
La patrouille Royale qui me poursuivait
Chaque fois que ma vie est en jeu les souvenirs affluent
Un sentiment de déjá vu, un passé vécu dans la solitude
Un gamin déjá mercenaire, habitué au vol formé
Pour la guerre toujours en quáªte d'une bourse pleine
áa fait des heures que je fuis mes assassins avertis
Seul mon instinct me guide pour assurer ma survie
Comme une voix intérieure qui me pousse coá»te que coá»te
á faire un dernier effort l'ultime course me pousse
Sur les quais au cÅur d'une histoire
Oá¹ un autre que moi luttait pour sa vie contre les máªmes couards
REFRAIN
Alors
Voici le récit des 2 lames qui déjouá¨rent le sort
Le sort
Shurik'n :
Un revers de manche essuya mon front trempé de sueur
áa faisait des heures que je courais sans pouvoir les semer
Je sentais leur odeur dominer la puanteur régnant dans ce secteur
Dans ce quartier sans cÅur pendant que le mien tentait de reprendre son souffle
á cause de qui et pourquoi devais-je fuir
Pourquoi cette ville grouillée de sorciers et soldats ne pensant qu'á m'occire
J'ai vu mes poursuivants je les croyais mi homme mi animal
Tels démons issus de plan abyssal d'oá¹ le relent de souffre
Je comprenais rien á tout á§a la mort aux trousses comptant que sur mon instinct
Malgré cette voix dans ma táªte disant que c'était mon destin
Fallait que je continue rue aprá¨s rue le doute faisant glue
Pas le temps pour combattre dur d'avancer dans ce noir plein d'ordures
La lune dans le dos, ombre dans l'ombre, je longeais les murs gris
Chaque recoin sombre chaque pénombre offrant un abri
Jusqu'au quai trancher les gorges des veilleurs quand la nuit se remplit d'un cri de douleur
Au loin un homme assailli se battait avec ardeur
REFRAIN
Faf La Rage :
On était lá dos-á -dos maculés de sang
Nul besoin de mots pour exprimer le lien qui nous rassemble
Nos destinées enfin retrouvées
C'est dans le choc des armes que le nom de La Garde fut scellé
Le combat fut bref nos adversaires faciles
Nos esprits en communion nos lames qui scintillent
Comme si un pacte venu de loin renaissait
Comme si le Diable devant ce duo frissonnait
... "Merde, que je sois damné ?! Mais..."
Excusez, ma mémoire me fait défaut
Dés lors ils chevauchá¨rent ensemble
Et partout dans l'Empire les craintes des Seigneurs firent écho
Le temps n'a plus jamais été le máªme
Et pour tenter de les détruire l'Empereur y perdit son rá¨gne
Ce qui était en marche ne pouvait áªtre stoppé
Au son de La Garde le peuple suivrait
"Que je sois pendu... les gars, c'est lui, c'est un des deux, c'est un des deux j'vous dit, écartez-vous, écartez-vous..."
Un poignard dans le silence á un cheveux de mon bras
Les sens en alerte couché sur le sol práªt au combat
J'ai volé qu'un pain, rien qui justifie un tel sort
Pour un gosse affamé dans les quartiers pauvres
áa fait trop longtemps que á§a dure, des embuscades bizarres
Des embrouilles inattendues ponctuées de magie noire
Je sais qu'il y a un truc qui cloche, un danger qui rá´de
Mais c'est la vie dans les ruelles de Mars
"... Ah á§a tu l'as dit hein, hé du vin maraud.. et la suite vieillard ?"
La suite ? C'est courir jusqu'á en perdre haleine
Grimper sur les toits de la Taverne en évitant les carreaux d'arbalá¨tes
Un sort d'illusion m'a sauvé, j'en ai tué un
La patrouille Royale qui me poursuivait
Chaque fois que ma vie est en jeu les souvenirs affluent
Un sentiment de déjá vu, un passé vécu dans la solitude
Un gamin déjá mercenaire, habitué au vol formé
Pour la guerre toujours en quáªte d'une bourse pleine
áa fait des heures que je fuis mes assassins avertis
Seul mon instinct me guide pour assurer ma survie
Comme une voix intérieure qui me pousse coá»te que coá»te
á faire un dernier effort l'ultime course me pousse
Sur les quais au cÅur d'une histoire
Oá¹ un autre que moi luttait pour sa vie contre les máªmes couards
REFRAIN
Alors
Voici le récit des 2 lames qui déjouá¨rent le sort
Le sort
Shurik'n :
Un revers de manche essuya mon front trempé de sueur
áa faisait des heures que je courais sans pouvoir les semer
Je sentais leur odeur dominer la puanteur régnant dans ce secteur
Dans ce quartier sans cÅur pendant que le mien tentait de reprendre son souffle
á cause de qui et pourquoi devais-je fuir
Pourquoi cette ville grouillée de sorciers et soldats ne pensant qu'á m'occire
J'ai vu mes poursuivants je les croyais mi homme mi animal
Tels démons issus de plan abyssal d'oá¹ le relent de souffre
Je comprenais rien á tout á§a la mort aux trousses comptant que sur mon instinct
Malgré cette voix dans ma táªte disant que c'était mon destin
Fallait que je continue rue aprá¨s rue le doute faisant glue
Pas le temps pour combattre dur d'avancer dans ce noir plein d'ordures
La lune dans le dos, ombre dans l'ombre, je longeais les murs gris
Chaque recoin sombre chaque pénombre offrant un abri
Jusqu'au quai trancher les gorges des veilleurs quand la nuit se remplit d'un cri de douleur
Au loin un homme assailli se battait avec ardeur
REFRAIN
Faf La Rage :
On était lá dos-á -dos maculés de sang
Nul besoin de mots pour exprimer le lien qui nous rassemble
Nos destinées enfin retrouvées
C'est dans le choc des armes que le nom de La Garde fut scellé
Le combat fut bref nos adversaires faciles
Nos esprits en communion nos lames qui scintillent
Comme si un pacte venu de loin renaissait
Comme si le Diable devant ce duo frissonnait
... "Merde, que je sois damné ?! Mais..."
Excusez, ma mémoire me fait défaut
Dés lors ils chevauchá¨rent ensemble
Et partout dans l'Empire les craintes des Seigneurs firent écho
Le temps n'a plus jamais été le máªme
Et pour tenter de les détruire l'Empereur y perdit son rá¨gne
Ce qui était en marche ne pouvait áªtre stoppé
Au son de La Garde le peuple suivrait
"Que je sois pendu... les gars, c'est lui, c'est un des deux, c'est un des deux j'vous dit, écartez-vous, écartez-vous..."