Fremen Songtext

Pendant que nos villes brûlent dans le carburant des urnes
Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus
Les pieds dans le goudron, la tête dans les plumes
J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu

Je te ferai valser sur des tangos et vibrer les côtes
Tanguer sur des îlots d'un nouveau monde à l’autre
Je te ferai l'amour comme on ne le fait plus
J'ai chuchoté si fort qu'tu m'as entendu

Il pleut des cordes sur les gabardines
Moi j'ai toujours su que les femmes avaient le goût de grenadine
Les taxis passent et l'envie défile
A la vitesse d'un limier lâché sur sa cible

I'm coming after, coming after, coming after you
And I'm coming after, coming after, coming after you
I'm coming after, coming after, coming after you
And coming after, coming after, coming after you

Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de cœur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète

Nos meilleures histoires dorment sous les couvertures
Jusqu'à c'qu'une lampe, le soir, révèlent la vraie nature
Les pieds au plafond, la tête dans le future
J'ai chuchoté si fort que tout le monde s'est tu
Tournée générale, c'est pour moi, vas-y sers toi
Ce que je donne je ne le reprends pas
J'ai croqué dans le fruit qui m'était défendu
Je te ferai la cour comme on ne le fait plus

Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète

I'm coming after, coming after, coming after you
And I'm coming after, coming after, coming after you

Je lève mon verre à la chaleur de l'épiderme
Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses
Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte
Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs
À nos victoires, à nos défaites
À tes yeux de Fremen
Et à l'amour que je porte à cette époque obsolète