Eleanor Songtext

J'ai écrit c'texte sur le type beat d'un mec que j'mets à l'amende
Ils m'trouveront fort quand j's'rai à la mode ou bien la morgue
Dans l'ciel, sers-moi un bon thé, j'aime bien la menthe
J'm'en fous de qui tient la rampe ou de c'qu'il y a avant
Intéresse-toi aux mecs qui sont derrière et qui viendront te staber dans l'dos (Oh)
Ils parlent de chiffres, ils voient que dalle, ces fils de putains ignorants sont enfermés dans l'dôme
Mais ils aiment bien la vente

T'entends ?
Mon négro aime les gros mots, il tire pas la langue
Comme Gilbert, j'reconnais les billets même en louchant
Bain d'sang, j'fais mouiller vos rappeurs en les touchant
Dans l'ombre depuis tout c'temps
Mais j'suis toujours en feu, quand faut rapper, pourquoi tu tousses tant ?
À vos raps, on fait feu, vous partez
Premier en sport et en chant ici tout s'tente

Yeah, j'envoie des raclées pas de douces trempes
On fait manger vos guetteurs (Oh), il est douze trente
Ces bitches à mon cou, s'pendent
Comme si j'étais un porte-avions
Tu vas jouer les porte-savons dans les douches où tous bandent
Nous quand, on arrive dans les parages, tu fous l'camp
On t'fait lever les deux jambes comme Liu Kang
Le studio, c'est le boot camp (Yeah), et si tu sors : care
J'vais tellement t'gifler, qu'tu vas m'appeler "daddy" comme [Shay ?]

J'produis un caillou pur, pas de ceau-mor cheum
J'repense à ceux qui jouaient les stars
J'regarde les stats et j'm'dis qu'certains sont morts jeunes
J'les aimais bien avant, mais tu connais l'industrie a fait tant d'égéries
Puis les digère, l'air angélique, qu'est-ce que tu cherches ?
Leur frotter le brushing n'en fera pas tant des génies
Donc j'me contente, d'envoyer la semence quand la petite gémit
Vive la Renaissance : j'repeins les femmes nues, j'me sens comme Botticelli
L'important, c'est qu'j'y suis, c'est pas le temps qu'j'ai mis
Et j'm'arrêterai lorsque mes problèmes feront le même bruit qu'une Mustang Shelby

Je sais c'que tu cherches
[?] mon Eleanor
Seulement, t'es loin d'être le seul

On sait comment gérer la pression, face à carnivores
On les rend flexitariens, avec un thon sans ossements
Repars avec les haussements
Repars sans sauce, non-indemne, à la caisse, on flex et t'as rien
D'intéressant, on sait qu'tes soces mentent
Doucement, mais dans la durée, là, c'est très bien, y a pas d'lumières ?
Seulement, j'les supplierai pas pour qu'ils viennent allumer
Y a des snakes qui perdent leur peau sans parler d'muer
J'bosse mes punchs, comme un boxeur qui a la rage de voir son match annulé
J'veux pas pioncer dans les caisses à perpétuité
Le sang, sous les pansements, coule, l'imper' peut fuiter
Faut avoir les épaules pour nous imiter, ces bouffons sont limités
On envoie la purée, vos appuis sont trop fébriles
Pour avoir les vêtements, les bijoux que l'on fait briller
Sous les vestes en cuir que le Soleil fait brûler
Dans un [?] [survêtement ?]
Ah, là, ça suce bêtement, assume pleinement que tu suces maintenant
Elle se disait professionnelle, j't'assure qu'elle ment

J'voulais briller, j'parlais que d'ça, j'volais billets dans les caisses
J'suis devenu un homme rapidement, tous les feux, j'voulais griller
Habillement, on voulait les flingues comme dans les films
Ceux qu'on planque sous l'évier, la Terre tourne, mais les négros font du sur place
Comme lévrier, courant après la monnaie sur glace
Des gens à l'appartement, apparemment quand ils sont prêts à jouer les vendus, on les surclasse