Aux Frais Des Quatre Saisons Songtext
Du tour du monde au bout du monde
En fin de compte il n’y a qu’un pont
Y’a l’océan, les sentiments
L’amour, un poisson violent
À découvert, à Recouvrance
Ici l’hiver vaut bien une danse
Le soleil gronde, les nuits sont longues
Brest ma belle, ma tombe.
Qu’importe d’y croire ou non
T’aimer à tort ou à raison
Aux frais des quatre saisons
Et dans ta chute, prends ton élan
Ne jamais laisser l’addition
Ou alors à l’horizon
Ou alors à l’horizon
Mon île perdue, ma vieille carcasse
Pleurons sur l’orage qui passe
Aimant croyant, peu pratiquant
Pointer du doigt pour l’instant
Et ce chagrin qu’est un marin
Qui trinque à grands coups de rien
À l’espérance et dans un sens
Léguer mon corps à l’absence
Qu’importe d’y croire ou non
T’aimer à tort ou à raison
Aux frais des quatre saisons
Et dans ta chute prends ton élan
Ne jamais laisser l’addition
Ou alors à l’horizon
Ou alors à l’horizon
J’suis pessimiste, pour l’optimiste
Ton corps qui planche j’en ai des listes
Comme une marée, sur tes mensonges
Sur tout ce sel qui nous ronge
Ici Paris, par précaution
Mes souvenirs en médaillon
Les compromis, les concessions
Je ne suis pas mort
Je suis Breton
Qu’importe d’y croire ou non
T’aimer à tort ou à raison
Aux frais des quatre saisons
Et dans ta chute prends ton élan
Ne jamais laisser l’addition
Ou alors à l’horizon…
En fin de compte il n’y a qu’un pont
Y’a l’océan, les sentiments
L’amour, un poisson violent
À découvert, à Recouvrance
Ici l’hiver vaut bien une danse
Le soleil gronde, les nuits sont longues
Brest ma belle, ma tombe.
Qu’importe d’y croire ou non
T’aimer à tort ou à raison
Aux frais des quatre saisons
Et dans ta chute, prends ton élan
Ne jamais laisser l’addition
Ou alors à l’horizon
Ou alors à l’horizon
Mon île perdue, ma vieille carcasse
Pleurons sur l’orage qui passe
Aimant croyant, peu pratiquant
Pointer du doigt pour l’instant
Et ce chagrin qu’est un marin
Qui trinque à grands coups de rien
À l’espérance et dans un sens
Léguer mon corps à l’absence
Qu’importe d’y croire ou non
T’aimer à tort ou à raison
Aux frais des quatre saisons
Et dans ta chute prends ton élan
Ne jamais laisser l’addition
Ou alors à l’horizon
Ou alors à l’horizon
J’suis pessimiste, pour l’optimiste
Ton corps qui planche j’en ai des listes
Comme une marée, sur tes mensonges
Sur tout ce sel qui nous ronge
Ici Paris, par précaution
Mes souvenirs en médaillon
Les compromis, les concessions
Je ne suis pas mort
Je suis Breton
Qu’importe d’y croire ou non
T’aimer à tort ou à raison
Aux frais des quatre saisons
Et dans ta chute prends ton élan
Ne jamais laisser l’addition
Ou alors à l’horizon…