Lyric Atlantique Songtext
Le soleil a sombré sur les flots atlantiques
La Vendée retranchée derrière ses hautes dunes
Où les oiseaux de mer font leurs cris pathétiques
S'assoupit lentement en regardant la « Une »
J'aurais voulu ce soir que nous soyons ensemble
A cueillir des étoiles et tes fruits défendus
Je t'aurais parlé de l'enfant qui me ressemble
Qui plânait dans l'azur et qu'on a descendu
J'aurais voulu ce soir que tu puisses m'entendre
Je t'aurais raconté ce siècle sans vertu
Où tout n'est que clinquant où l'humain est à vendre
Et où la poésie court les sentiers battus
Tu m'aurais fait sourire de quelque impertinence
Pour ce discours qui fleure encore son mois de mai
Avant de m'embarquer dans tes yeux verts qui dansent
Et qu'un geste audacieux serait venu fermer
Puis sur le sable fin j'aurais écrit je t'aime
Après m'être bercé de tes jeunes langueurs
Et j'aurais murmuré le plus beau des poèmes
En laissant reposer ma tête sur ton coeur
Alors saisis soudain de la folie mystique
Que souffle à l'âme un paradis entr'aperçu
Nous aurions nagés nus, vers quelques Amériques
Où l'on n'arrive pas pour n'être pas déçu
La Vendée retranchée derrière ses hautes dunes
Où les oiseaux de mer font leurs cris pathétiques
S'assoupit lentement en regardant la « Une »
J'aurais voulu ce soir que nous soyons ensemble
A cueillir des étoiles et tes fruits défendus
Je t'aurais parlé de l'enfant qui me ressemble
Qui plânait dans l'azur et qu'on a descendu
J'aurais voulu ce soir que tu puisses m'entendre
Je t'aurais raconté ce siècle sans vertu
Où tout n'est que clinquant où l'humain est à vendre
Et où la poésie court les sentiers battus
Tu m'aurais fait sourire de quelque impertinence
Pour ce discours qui fleure encore son mois de mai
Avant de m'embarquer dans tes yeux verts qui dansent
Et qu'un geste audacieux serait venu fermer
Puis sur le sable fin j'aurais écrit je t'aime
Après m'être bercé de tes jeunes langueurs
Et j'aurais murmuré le plus beau des poèmes
En laissant reposer ma tête sur ton coeur
Alors saisis soudain de la folie mystique
Que souffle à l'âme un paradis entr'aperçu
Nous aurions nagés nus, vers quelques Amériques
Où l'on n'arrive pas pour n'être pas déçu