Agrevolution Songtext
Place à l'action, réaction, l'agrévolution fiction,
Pas une science, penses-tu, vas y suis vite les informations.
Dix flashs par secondes, nos photos partout dans le Monde,
Des paparazzis, histoire que les fans se rassasient.
Agrévolution, en ébulition, dans tous les magazines,
Dans les bacs, dans les émissions.
Tu vois je suis pressé, je donne une conférence de presse et
Je dois te laisser, oh des fans qui viennent me lécher.
Avis à la population, c'est l'agrévolution,
Ma clique atteint son apogée, son ascension.
Des fans pas millions, radios, télévisions aux aguets,
Devant le phénomène nommé l'Agression.
Flash spécial c'est PPDA au journal de 20 heures,
L'Agression Verbale, tous en choeur.
On prend de l'ampleur on avance plus vite qu'une F1,
Je reserve l'excusivité uniquement à TF1.
Rupture de stoc dans les bacs de la FNAC,
Nos skeuds se dealent comme une sav' à 10 sacs.
C'est la révolution, voila l'Agression qui débarque avec du pur son,
Pour les blancs, les rabzas et les blacks.
Georgetown pète le champagne, y'a du son, y'a des go et le sunshine,
Tu vois y'a pas de fringues, en caleçon et debardeurs,
Avec une bande de démarreurs, des go qui me disent, "t'es speed comme schummareur".
J'ai trop de flouse, je suis polygame, je compte plus mes épouses,
Elles méritent toutes une couverture sur Penthouse.
Derrière mon dos, des MC jactent et surtout jalousent.
Yé Yé après tant d'année, je crois que le succès est mérité,
Pour moi et mes refrés à mes cotés.
Tant d'embuches, tant d'embuscades, on a surmontés,
Persévérants on a su monter.
En quelques années on a tout raflé,
Mixtape, casette, CD, est ce que tu sais, je crois que tu connais.
Maisons de disque époustouflées, contrats à signer par milliers,
Les caisses de la SACEM on a dépouillées.
La gloire, le succès et des millions de ventes,
Devant nos portes les raclis sont en attentes.
Des foules en délire chaque fois que sur scène on représente,
98 voila le premier maxi dans les bacs.
Les médias, les paparazzis nous traquent,
Qui aurait cru à un tel impact le jour ou l'Agression Verbale passerait à l'attaque.
Ca se passe comme au mondial, mon 5 majeur, une équipe fatale,
Remake de la dream team, l'Agression se la joue la vraie frime.
Mon collectif composé de cinq super nigga,
Le régal de meda et surtout de mes gars.
C'est pas un boys band, non, non, une bande de rappers,
Un groupe classé murder, par les bookmakers.
Augmente les paris, y'a pas mieux pour faire du benef' en ce moment à Paris.
Soirée VIP, y'a plus de samedi à la son-mai,
Une bad sion-mi pour rentrer chez oime,
Des fans qui m'aclament, c'est comme Caprio au festival de Cannes.
10 fois disque d'or, une grosse cabriolet,
Un pas sur la scène et là tu vois les raclis miauler.
"Ol kainry plus tard je serais fort comme toi",
C'est ce que j'entend, des grands mères, des grands frères et même des tonton.
Y'a pas si longtemps c'était que le début,
Agrévolution là partout t'entend parler de ma tribu.
Tu sais pourquoi on voit grand, depuis qu'on est grand, qu'on a du cran,
C'est que la merde nous a pendu, on est adolescent.
Cran d'arrêt en guise de porte bonheur,
La rue un cinéma, sur l'écran trop de sang, de douleurs.
En quète d'un scénario plein de couleurs,
Certains diront ca crée évolution pour des gens de couleur,
Qui ne font plus leurs courses au ATAC, ont des Startacs.
Fini la matraque et ce flic derrière criant "macaque".
Pas une science, penses-tu, vas y suis vite les informations.
Dix flashs par secondes, nos photos partout dans le Monde,
Des paparazzis, histoire que les fans se rassasient.
Agrévolution, en ébulition, dans tous les magazines,
Dans les bacs, dans les émissions.
Tu vois je suis pressé, je donne une conférence de presse et
Je dois te laisser, oh des fans qui viennent me lécher.
Avis à la population, c'est l'agrévolution,
Ma clique atteint son apogée, son ascension.
Des fans pas millions, radios, télévisions aux aguets,
Devant le phénomène nommé l'Agression.
Flash spécial c'est PPDA au journal de 20 heures,
L'Agression Verbale, tous en choeur.
On prend de l'ampleur on avance plus vite qu'une F1,
Je reserve l'excusivité uniquement à TF1.
Rupture de stoc dans les bacs de la FNAC,
Nos skeuds se dealent comme une sav' à 10 sacs.
C'est la révolution, voila l'Agression qui débarque avec du pur son,
Pour les blancs, les rabzas et les blacks.
Georgetown pète le champagne, y'a du son, y'a des go et le sunshine,
Tu vois y'a pas de fringues, en caleçon et debardeurs,
Avec une bande de démarreurs, des go qui me disent, "t'es speed comme schummareur".
J'ai trop de flouse, je suis polygame, je compte plus mes épouses,
Elles méritent toutes une couverture sur Penthouse.
Derrière mon dos, des MC jactent et surtout jalousent.
Yé Yé après tant d'année, je crois que le succès est mérité,
Pour moi et mes refrés à mes cotés.
Tant d'embuches, tant d'embuscades, on a surmontés,
Persévérants on a su monter.
En quelques années on a tout raflé,
Mixtape, casette, CD, est ce que tu sais, je crois que tu connais.
Maisons de disque époustouflées, contrats à signer par milliers,
Les caisses de la SACEM on a dépouillées.
La gloire, le succès et des millions de ventes,
Devant nos portes les raclis sont en attentes.
Des foules en délire chaque fois que sur scène on représente,
98 voila le premier maxi dans les bacs.
Les médias, les paparazzis nous traquent,
Qui aurait cru à un tel impact le jour ou l'Agression Verbale passerait à l'attaque.
Ca se passe comme au mondial, mon 5 majeur, une équipe fatale,
Remake de la dream team, l'Agression se la joue la vraie frime.
Mon collectif composé de cinq super nigga,
Le régal de meda et surtout de mes gars.
C'est pas un boys band, non, non, une bande de rappers,
Un groupe classé murder, par les bookmakers.
Augmente les paris, y'a pas mieux pour faire du benef' en ce moment à Paris.
Soirée VIP, y'a plus de samedi à la son-mai,
Une bad sion-mi pour rentrer chez oime,
Des fans qui m'aclament, c'est comme Caprio au festival de Cannes.
10 fois disque d'or, une grosse cabriolet,
Un pas sur la scène et là tu vois les raclis miauler.
"Ol kainry plus tard je serais fort comme toi",
C'est ce que j'entend, des grands mères, des grands frères et même des tonton.
Y'a pas si longtemps c'était que le début,
Agrévolution là partout t'entend parler de ma tribu.
Tu sais pourquoi on voit grand, depuis qu'on est grand, qu'on a du cran,
C'est que la merde nous a pendu, on est adolescent.
Cran d'arrêt en guise de porte bonheur,
La rue un cinéma, sur l'écran trop de sang, de douleurs.
En quète d'un scénario plein de couleurs,
Certains diront ca crée évolution pour des gens de couleur,
Qui ne font plus leurs courses au ATAC, ont des Startacs.
Fini la matraque et ce flic derrière criant "macaque".